Discussion:Henry John Temple
Apparence
Rôle de Palmerston
[modifier le code]Je déplace en PDD ce paragraphe, qui devrait être réécrit en se centrant sur le rôle de Palmerston dans ces événements. En effet, cet article est une notice bibliographique sur Palmerston, pas un article général sur l'histoire de la politique étrangère du Royaume-Uni. En outre, certaines affirmations contenues dans ce passage devraient être sourcées.
- Lorsque la Belgique déclare son indépendance en 1830, Guillaume Ier des Pays-Bas fait appel aux puissances coalisées pour maintenir ses prérogatives sur les territoires rebelles. D’une part, les grandes puissances (Prusse, Autriche, Russie) sont favorables au maintien, par la force s’il le faut, de la Belgique à l’intérieur du Royaume des Pays-Bas. D’autre part, la Belgique, à l’instigation de nombreux révolutionnaires belges (tels que Charles de Brouckère ou Charles Rogier) semble prête à céder aux tentations rattachistes. Dès lors, la position de l’Angleterre suppose l’indépendance de la Belgique[réf. nécessaire], la sécurité de la Grande-Bretagne nécessite d’éviter à tout prix que la Belgique ne redevienne française. En effet, les Anglais se rappelaient douloureusement du Blocus continental imposé par Napoléon Ier.
- La politique du gouvernement britannique, menée par Lord Palmerston, passe donc par le maintien de la Belgique comme État tampon et se base sur un équilibre des forces sur le continent : Si les grandes puissances interviennent militairement contre l’indépendance de la Belgique, la France et le Royaume-Uni s’allieront pour rétablir l’indépendance de la Belgique. Si les provinces belges se laissent annexer par la France, les puissances européennes se coaliseront contre cet État. Finalement la politique britannique a prévalu et la Belgique fut établie comme État tampon et la paix fut maintenue pendant quelques temps.[réf. nécessaire]
Rāvən (d) 17 décembre 2008 à 00:08 (CET)
A ajouter
[modifier le code]"Face à ce qu'il considère comme une offense et une violation du traité de 1816, Lord Palmerston, plus tard responsable de la première guerre de l'opium et de la convention de Londres de 1840 pour servir les intérêts financiers britanniques, menace les Deux-Siciles d'une intervention de l'armée britannique2,3." extrait de Question des soufres